Les mamans calmes
Édito 286
Delphine HENRIET
Bien en soi, mieux avec les autres
25 Septembre 2017
Que vous soyez maman ou pas, cet édito vous interpellera car nous avons tous une maman dans notre vie, sans parler des belles (mamans), autre catégorie à part et non des moindres… Rentrée scolaire oblige, la presse bat son plein autour des thèmes : Quelle mère/Quel père êtes-vous ? Quel est votre profil « parent d’élève » ? Et cetera. Ce n’est pas nouveau, les magazines adorent le catalogage… parce que nous aussi !
Au-delà de notre signe astrologique, basique des basiques, les prismes ne manquent pas pour nous coller des étiquettes rassurantes, valorisantes voire gentiment borderlines (les lecteurs ça se brosse dans le sens du poil). Bref, nous aimons appartenir à un groupe, à un clan. Et le thème du moment est l’éducation ou la façon dont nous élevons nos enfants.
Ainsi, aux abords des écoles, le matin de préférence quand nous sommes dans le jus, il y a la maman (ou le papa) qui connaît tout le monde même les prénoms des autres enfants, celle qui est en retard et débarque en pyjama sous Trench, la working-mum stylée, l’adepte du petit café après… et la maman calme. L’expression n’est pas de moi, mais de Florence Foresti.
La maman calme c’est une sorte de wonder-mum, sereine, enjouée… et calme quelles que soient les circonstances. En d’autres termes, elle ne monte jamais dans les aigus quand sa progéniture se trompe, traîne, fait une bêtise… Elle gère dans le calme. Autant dire que des mamans calmes 24h/24, je n’en ai encore jamais rencontré. On peut être calme une journée voire deux, mais à partir de la troisième, c’est plus compliqué : les masques tombent, l’effet de surprise s’émousse.
Vous l’aurez compris, être calme ça s’apprend, se cultive, se peaufine… pour faire face à (presque) toutes les situations avec maîtrise et sérénité, qu’elles soient professionnelles, personnelles… et éducatives.
En la matière, prendre soin de soi est un atout de taille pour gagner en calme, détachement et relativisation, qu’il s’agisse d’aller chez le coiffeur, d’apprendre à méditer, de profiter d’un soin du visage, de s’initier au yoga, de se faire masser… façon partir pour mieux revenir dans l’arène du quotidien parmi les siens.
Vous savez ce qui vous reste à faire…
Rendez-vous la semaine prochaine pour un nouvel édito.
Au-delà de notre signe astrologique, basique des basiques, les prismes ne manquent pas pour nous coller des étiquettes rassurantes, valorisantes voire gentiment borderlines (les lecteurs ça se brosse dans le sens du poil). Bref, nous aimons appartenir à un groupe, à un clan. Et le thème du moment est l’éducation ou la façon dont nous élevons nos enfants.
Ainsi, aux abords des écoles, le matin de préférence quand nous sommes dans le jus, il y a la maman (ou le papa) qui connaît tout le monde même les prénoms des autres enfants, celle qui est en retard et débarque en pyjama sous Trench, la working-mum stylée, l’adepte du petit café après… et la maman calme. L’expression n’est pas de moi, mais de Florence Foresti.
La maman calme c’est une sorte de wonder-mum, sereine, enjouée… et calme quelles que soient les circonstances. En d’autres termes, elle ne monte jamais dans les aigus quand sa progéniture se trompe, traîne, fait une bêtise… Elle gère dans le calme. Autant dire que des mamans calmes 24h/24, je n’en ai encore jamais rencontré. On peut être calme une journée voire deux, mais à partir de la troisième, c’est plus compliqué : les masques tombent, l’effet de surprise s’émousse.
Vous l’aurez compris, être calme ça s’apprend, se cultive, se peaufine… pour faire face à (presque) toutes les situations avec maîtrise et sérénité, qu’elles soient professionnelles, personnelles… et éducatives.
En la matière, prendre soin de soi est un atout de taille pour gagner en calme, détachement et relativisation, qu’il s’agisse d’aller chez le coiffeur, d’apprendre à méditer, de profiter d’un soin du visage, de s’initier au yoga, de se faire masser… façon partir pour mieux revenir dans l’arène du quotidien parmi les siens.
Vous savez ce qui vous reste à faire…
Rendez-vous la semaine prochaine pour un nouvel édito.
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