La vérité sur la Saint-Valentin

Édito 337

Delphine HENRIET
Un soin pour faire la paix avec mes émotions
29 Janvier 2019
Si les origines de la Saint-Valentin sont encore sujettes à caution et que je ne m’aventurerai pas sur ce terrain glissant, nous ne la fêtons « pleinement » en France que depuis les années 80. Malgré le temps qui passe, elle reste un événement clivant avec ses adeptes et ses détracteurs.
Dire que les premiers représentent les amoureux décomplexés un tantinet fleur bleue et les seconds les anti-consuméristes amoureux ou pas mais anti-consuméristes avant tout, serait un peu réducteur. En effet, la perception de cette fête varie surtout en fonction des personnes, de leur situation (jusque-là rien de nouveau sous le soleil) mais également de leur sexe. Si les différences femmes et hommes ne sont pas tellement au goût du jour, pour ma part je les ai toujours assumées et les revendiquent même, sauf naturellement en matière d’égalité des droits, des salaires…
Ainsi, femmes et hommes n’avons pas la même perception du 14 février. Nous ne l’appréhendons pas ni ne le vivons de la même façon. A ce propos toujours, juste pour l’anecdote, sachez que la valeur des présents faits à l’épouse ou au mari officiel(le) et ceux faits à la maîtresse ou à l’amant varierait du simple au double en faveur des « officieux », plus reconnaissants et non avares de remerciements charnels. En d’autres termes, le « retour sur investissement » serait sans commune mesure, les officiels considérant le cadeau de la Saint Valentin comme un geste naturel et attendu, c’est-à-dire convenu.
Cette digression décalée (mais interpellante) étant faite, revenons à l’appréciation de la Saint-Valentin.
Des études ont montré que les femmes seraient en attente d’un cadeau, d’un geste, d’une démonstration d’attachement voire même « assez » susceptibles si rien n’était. Conscients de cette différence entre eux, les hommes vivraient le 14 février comme une obligation, une soumission, un jeu auxquels ils se soumettraient avec plus ou moins d’entrain pour leur faire plaisir.
Face à ce sac de nœuds entre sincérité et obligation, attente et déception, décalage et différence… pourquoi ne pas faire simplement la paix avec nos émotions le jour de la Saint-Valentin ?
Pour cela, rien de tel qu’un Soin qu’il soit massage, spa du cheveu, manucure, rasage à l’ancienne, hammam… en solo ou plus si affinité.
Aussi, à la Saint-Valentin, prenez Soin de vous comme bon vous semble pour être bien avec vous.
Quant au reste, il suivra…
Rendez-vous la semaine prochaine pour un nouvel édito.
Dire que les premiers représentent les amoureux décomplexés un tantinet fleur bleue et les seconds les anti-consuméristes amoureux ou pas mais anti-consuméristes avant tout, serait un peu réducteur. En effet, la perception de cette fête varie surtout en fonction des personnes, de leur situation (jusque-là rien de nouveau sous le soleil) mais également de leur sexe. Si les différences femmes et hommes ne sont pas tellement au goût du jour, pour ma part je les ai toujours assumées et les revendiquent même, sauf naturellement en matière d’égalité des droits, des salaires…
Ainsi, femmes et hommes n’avons pas la même perception du 14 février. Nous ne l’appréhendons pas ni ne le vivons de la même façon. A ce propos toujours, juste pour l’anecdote, sachez que la valeur des présents faits à l’épouse ou au mari officiel(le) et ceux faits à la maîtresse ou à l’amant varierait du simple au double en faveur des « officieux », plus reconnaissants et non avares de remerciements charnels. En d’autres termes, le « retour sur investissement » serait sans commune mesure, les officiels considérant le cadeau de la Saint Valentin comme un geste naturel et attendu, c’est-à-dire convenu.
Cette digression décalée (mais interpellante) étant faite, revenons à l’appréciation de la Saint-Valentin.
Des études ont montré que les femmes seraient en attente d’un cadeau, d’un geste, d’une démonstration d’attachement voire même « assez » susceptibles si rien n’était. Conscients de cette différence entre eux, les hommes vivraient le 14 février comme une obligation, une soumission, un jeu auxquels ils se soumettraient avec plus ou moins d’entrain pour leur faire plaisir.
Face à ce sac de nœuds entre sincérité et obligation, attente et déception, décalage et différence… pourquoi ne pas faire simplement la paix avec nos émotions le jour de la Saint-Valentin ?
Pour cela, rien de tel qu’un Soin qu’il soit massage, spa du cheveu, manucure, rasage à l’ancienne, hammam… en solo ou plus si affinité.
Aussi, à la Saint-Valentin, prenez Soin de vous comme bon vous semble pour être bien avec vous.
Quant au reste, il suivra…
Rendez-vous la semaine prochaine pour un nouvel édito.
Soins
Adresses

Private Spa Nuxe Le MathurinSpa privatif en solo ou en duo
43 rue des Mathurins
75008 Paris
75008 Paris
Adresse testée
par SpaEtc
Spa Les Fermes de MarieRituel Massage Pure Altitude
Chemin de Riante Colline
74120 Megève
74120 Megève
Adresse testée
par SpaEtc
Ban Thaï Paris 2ème MontorgueilPour un massage Thaï des pieds
5 rue Mandar
75002 Paris
75002 Paris
Adresse testée
par SpaEtc
Spa Nuxe MontorgueilLuxe, calme, volupté et Watsu
32-34 rue Montorgueil 75001 Paris
Adresse testée
par SpaEtc
The Nail KitchenRecettes pour manucures en couleurs
Espace Beauté du BHV - 52 rue de Rivoli
75004 Paris
75004 Paris
Adresse testée
par SpaEtc
L'atelier des rougesManucure japonaise, instant de sérénité
11 rue d'Austerlitz
69004 Lyon
69004 Lyon
Adresse testée
par SpaEtc
Nathalie TuilUne alchimie régénératrice
2 place du Général Leclerc
94160 Saint Mandé
94160 Saint Mandé
Adresse testée
par SpaEtc
Royatonic Bains & SpaUn volcan s'éteint, un spa s'éveille
5 avenue Auguste Rouzaud
63130 Royat
63130 Royat
Adresse testée
par SpaEtc
Les Cures Marines de TrouvilleLa respirologie, une amie pour la vie
Boulevard de la Cahotte
14360 Trouville sur Mer
14360 Trouville sur Mer
Adresse testée
par SpaEtc