Qui va en cabine conquiert la « sérénitude »
Édito 37
Delphine HENRIET
Un soin soit-il...
18 Octobre 2011
Non cet édito ne sera pas politique, ni politiquement correct d'ailleurs... Mais rendons à Ségolène Royal non pas la grandeur de la Muraille de Chine mais la formule qu'elle lui a inspirée et ce néologisme de circonstance : « qui va sur la Grande Muraille de Chine conquiert la bravitude », s’il est besoin de le repréciser. Quant au titre de cet édito, il est un clin d’œil à Ségolène, femme aujourd'hui rayée du jeu politique.
Que nous soyons d'accord ou pas avec ses opinions, que nous soyons femme ou homme sans sous-entendre une solidarité féminine aveugle que je conteste car inappropriée et décrédibilisante, dois-je au moins lui reconnaître sa « bravitude ». Elle n'en a pas manqué, tel Don Quichotte face aux moulins, alors qu'elle était torpillée, à l'intérieur même du PS, par les éléphants et leurs héritiers. Mais ses idées, ses promesses, son imprécision… ont aussi eu raison de sa « bravitude ». Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts, des larmes aussi...
« Et alors ? », vous demanderez-vous. « Où nous emmène-t-elle ? »
En cabine, pardi !
Je reviens fissa dans le droit chemin du monde des soins : mon parti à moi. Et dans ce registre, je persiste et signe : qui va en cabine, conquiert la « sérénitude ». Si ma formule est moins chevaleresque que le dicton chinois sur la bravoure, il s’agit pour moi de rendre sa noblesse au soin, à ses bienfaits. Prenons, sans hasard, un soin du visage. C’est une prestation classique s’il en est une, qui brillait « jadis » par son efficacité déplaisante dans la veine du « il faut souffrir pour être belle ». Aujourd’hui, elle est une parenthèse mêlant efficacité certes, mais détente aussi grâce à une orchestration millimétrée. Selon le principe de la médecine chinoise (j’y reviens encore, décidément) qui considère le corps dans son ensemble, ce dernier n’est pas en reste bien au contraire. Si le visage demeure la star du soin, mains, pieds, nuque, épaules, plexus solaire… sont sollicités pour un bien-être global… la sérénité.
Rendez-vous la semaine prochaine pour un nouvel édito, et dès jeudi pour un soin du visage en cabine.
Que nous soyons d'accord ou pas avec ses opinions, que nous soyons femme ou homme sans sous-entendre une solidarité féminine aveugle que je conteste car inappropriée et décrédibilisante, dois-je au moins lui reconnaître sa « bravitude ». Elle n'en a pas manqué, tel Don Quichotte face aux moulins, alors qu'elle était torpillée, à l'intérieur même du PS, par les éléphants et leurs héritiers. Mais ses idées, ses promesses, son imprécision… ont aussi eu raison de sa « bravitude ». Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts, des larmes aussi...
« Et alors ? », vous demanderez-vous. « Où nous emmène-t-elle ? »
En cabine, pardi !
Je reviens fissa dans le droit chemin du monde des soins : mon parti à moi. Et dans ce registre, je persiste et signe : qui va en cabine, conquiert la « sérénitude ». Si ma formule est moins chevaleresque que le dicton chinois sur la bravoure, il s’agit pour moi de rendre sa noblesse au soin, à ses bienfaits. Prenons, sans hasard, un soin du visage. C’est une prestation classique s’il en est une, qui brillait « jadis » par son efficacité déplaisante dans la veine du « il faut souffrir pour être belle ». Aujourd’hui, elle est une parenthèse mêlant efficacité certes, mais détente aussi grâce à une orchestration millimétrée. Selon le principe de la médecine chinoise (j’y reviens encore, décidément) qui considère le corps dans son ensemble, ce dernier n’est pas en reste bien au contraire. Si le visage demeure la star du soin, mains, pieds, nuque, épaules, plexus solaire… sont sollicités pour un bien-être global… la sérénité.
Rendez-vous la semaine prochaine pour un nouvel édito, et dès jeudi pour un soin du visage en cabine.