La santé d'abord !
Édito 93
Delphine HENRIET
Avec elle, tout est possible
8 Janvier 2013
Après les bêtisiers de l’année 2012, les rétrospectives sur les évènements et les « gens » qui l’ont marquée, 2013 s’ouvre à nous comme une page à écrire…
Avec les années qui apportent leur lot de maturité et de sérénité, paraît-il, une autre valeur prend également du galon : la santé. Bonne idéalement… Et parmi mes proches, moi y compris, je crois que rarement un mois de décembre n’a été aussi « toussif » ! S’il ne s’agissait pas de maladies longues ni graves, les fêtes se sont déroulées entre une otite, une angine, une gastro, une bronchite ou pire une bronchiolite… en attendant la grippe.
Quelle mouche nous a piqués fin 2012 ?
Il est vrai que la météo changeante et bien trop clémente pour la saison (comprenez au-dessus des normales) peut renforcer virus et bactéries, chambouler les organismes affaiblis après la rentrée, le coup de bambou de novembre… Mais ce n’est pas rare ni même nouveau !
Après, il y a également ceux, qui comme moi, goûtent avec leurs têtes blondes aux joies de la première année de scolarité façon « pandémie non stop ». En règle générale, ceux qui sont déjà passés par là leur souhaitent bien du courage avec cette phrase à classer dans les annales : « C’est l’histoire de 6 à 9 mois, le temps qu’il ou elle fasse ses anticorps et que l’été arrive. » Ah oui ? Merci bien…
N’oublions pas non plus le psychique, au côté du physique. Or, il faut bien reconnaître que malgré un soupçon de festivités ou de poudre de perlimpinpin, l’ambiance marquée par la crise ne permet pas toujours d’avoir un moral d’acier pour terrasser virus et bactéries. C’est bien connu : quand le moral est bas, la brèche est ouverte…
Mais, car il y a un mais positif, être au fond de son lit le 24 décembre permet aussi de relativiser. Et la guérison est comme un shoot d’endorphines ou d’hormones du bien-être. Nous pouvons alors de nouveau aller de l’avant, nous émerveiller, savourer chaque moment, être pleinement avec ceux qui comptent… le cœur plein d’attentions à donner, le corps neuf et libéré.
Je vous souhaite une très heureuse nouvelle année en pleine santé !
Avec les années qui apportent leur lot de maturité et de sérénité, paraît-il, une autre valeur prend également du galon : la santé. Bonne idéalement… Et parmi mes proches, moi y compris, je crois que rarement un mois de décembre n’a été aussi « toussif » ! S’il ne s’agissait pas de maladies longues ni graves, les fêtes se sont déroulées entre une otite, une angine, une gastro, une bronchite ou pire une bronchiolite… en attendant la grippe.
Quelle mouche nous a piqués fin 2012 ?
Il est vrai que la météo changeante et bien trop clémente pour la saison (comprenez au-dessus des normales) peut renforcer virus et bactéries, chambouler les organismes affaiblis après la rentrée, le coup de bambou de novembre… Mais ce n’est pas rare ni même nouveau !
Après, il y a également ceux, qui comme moi, goûtent avec leurs têtes blondes aux joies de la première année de scolarité façon « pandémie non stop ». En règle générale, ceux qui sont déjà passés par là leur souhaitent bien du courage avec cette phrase à classer dans les annales : « C’est l’histoire de 6 à 9 mois, le temps qu’il ou elle fasse ses anticorps et que l’été arrive. » Ah oui ? Merci bien…
N’oublions pas non plus le psychique, au côté du physique. Or, il faut bien reconnaître que malgré un soupçon de festivités ou de poudre de perlimpinpin, l’ambiance marquée par la crise ne permet pas toujours d’avoir un moral d’acier pour terrasser virus et bactéries. C’est bien connu : quand le moral est bas, la brèche est ouverte…
Mais, car il y a un mais positif, être au fond de son lit le 24 décembre permet aussi de relativiser. Et la guérison est comme un shoot d’endorphines ou d’hormones du bien-être. Nous pouvons alors de nouveau aller de l’avant, nous émerveiller, savourer chaque moment, être pleinement avec ceux qui comptent… le cœur plein d’attentions à donner, le corps neuf et libéré.
Je vous souhaite une très heureuse nouvelle année en pleine santé !