La protection solaire, c'est été comme hiver

Si le soleil est un astre ami, dopant notre production de vitamine D, notre belle humeur, notre solidité osseuse… il a son revers de médaille, son côté obscur. Et ne me promettez pas la lune ! Aussi, en abuser fait des ravages sur la peau, en accélérant son vieillissement, en creusant rides, ridules, sillons, en développant l’apparition des tâches pigmentaires, en « favorisant » le relâchement cutané… Bref, s’il nous couvre d’un joli hâle « bonne mine », appelé bronzage, il ne faut pas abuser du soleil, et il faut même s’en protéger toute l’année, en en profitant façon « je t’aime moi non plus ». Ne parle-t-on pas de gestion de notre capital solaire ?

A ce propos, le soleil est aujourd'hui responsable de 80% du vieillissement cutané lié à l'environnement. Je vous laisse apprécier l'info...

Si fort heureusement nous sommes plus vigilants qu’il y a 30 ou 40 ans, en matière d’exposition solaire, à l’exception de quelques irréductibles « crêpes des plages », car plus avertis aussi des dommages du soleil, nous avons quand même tendance à zapper l’indice de protection requis, hors vacances à la mer et séjour au ski. Et je vous passe les situations traîtresses à souhait, comme ciel voilé en été, sortie en mer sous le vent (ça aide le bateau), longue balade en ville… où les rayons font des ravages sans en avoir l’air, sournoisement.

Hormis le soleil d’autres faisceaux lumineux altèrent la peau et les yeux encore plus subrepticement. C’est le cas de certaines lumières artificielles, composées de lumière visible mais également de radiations ultraviolettes et d’infrarouges, dont les effets sont également nocifs.

Moralité, été comme hiver, à la montagne, en ville, à la campagne, en bord de mer, on se protège en ajoutant un peu de crème solaire dans sa crème de jour, en utilisant une base ou une poudre avec indice de protection pour faire ami-ami avec le soleil !

Rendez-vous la semaine prochaine pour un nouvel édito.