La Coiffure avec un C comme Beauté

Édito 321

Delphine HENRIET
La coiffure est au cœur de la beauté
11 Septembre 2018
Le week-end dernier et jusqu’à hier encore, c’était le Mondial de la Coiffure et de la Beauté (MCB), grand raout qui a lieu chaque année à Paris. Si la frontière est ténue entre coiffure et beauté, le MCB est avant tout le grand rendez-vous de la coiffure malgré le « B » de beauté.
En effet, la coiffure contribue à la beauté. La beauté au sens « soin esthétique » du terme s’invite également en salon de coiffure via des prestations annexes (manucure, make-up). Enfin, la beauté du cheveu est une des promesses de la coiffure. Bref, dire que l’une et l’autre sont étroitement liées est « quasi une Lapalissade. »
Dans la majorité des cas, vous n’êtes pas allé(e) au MCB sauf si vous êtes un professionnel de la coiffure et de la beauté, êtes très intéressé(e) par le secteur comme je le suis ou êtes apprenti(e). Or, chaque année je me fais la même réflexion, sans jugement de valeur aucun : le spectacle n’est pas seulement sur les stands du MCB, où toute la journée les shows s’enchaînent pour lisser, colorer, coiffer les cheveux… sculpter les barbes, les moustaches… mais dans la salle. A ce propos, je pense que la notion d’homme-sandwich (et de femme-sandwich) est née en salon de coiffure, et sans besoin de panneau publicitaire en guise d’étendard. En effet, il est difficile d’être une coiffeuse crédible si l’on a les racines grisonnantes (le silver power doit être travaillé), le cheveu filasse, une coupe sans queue ni tête. Et si la tolérance est tout autre pour un coiffeur (inégalité du quotidien oblige) qui a le droit ou presque d’être coiffé comme un as de pique, sauf pour les jeunes générations, elle n’existe pas pour un barbier homme qui doit être apprêté. Homme-sandwich, je vous ai dit…
Quant à déceler une once de tendance au MCB, il n’en est rien, car ce n’est pas là que les looks se font et se défont, mais bien backstage des défilés, dans les labos des grandes enseignes, chez les coiffeuses et coiffeurs de renom… et sont ensuite repris dans les magazines.
Mais que ferez-vous si le court féminin est tendance et qu’il ne vous va pas ? Et si le long masculin est in et qu’il ne vous va pas non plus sans parler d’être politiquement correct au bureau ?
Pas de panique le/la professionnel(le) de la coiffure a la réponse, qui glisse comme un fer à lisser sur toutes les tendances : la coiffure qui me va est unique, n’a pas d’année ni d’effet de mode !
Aussi, je vous invite à aller chez le coiffeur pour un soin capillaire (first of all), une coupe, une coloration, un lissage… sur mesure. Autrement dit une coiffure qui vous va parce que vous êtes unique et parce que vous le valez bien !
Rendez-vous la semaine prochaine pour un nouvel édito.
En effet, la coiffure contribue à la beauté. La beauté au sens « soin esthétique » du terme s’invite également en salon de coiffure via des prestations annexes (manucure, make-up). Enfin, la beauté du cheveu est une des promesses de la coiffure. Bref, dire que l’une et l’autre sont étroitement liées est « quasi une Lapalissade. »
Dans la majorité des cas, vous n’êtes pas allé(e) au MCB sauf si vous êtes un professionnel de la coiffure et de la beauté, êtes très intéressé(e) par le secteur comme je le suis ou êtes apprenti(e). Or, chaque année je me fais la même réflexion, sans jugement de valeur aucun : le spectacle n’est pas seulement sur les stands du MCB, où toute la journée les shows s’enchaînent pour lisser, colorer, coiffer les cheveux… sculpter les barbes, les moustaches… mais dans la salle. A ce propos, je pense que la notion d’homme-sandwich (et de femme-sandwich) est née en salon de coiffure, et sans besoin de panneau publicitaire en guise d’étendard. En effet, il est difficile d’être une coiffeuse crédible si l’on a les racines grisonnantes (le silver power doit être travaillé), le cheveu filasse, une coupe sans queue ni tête. Et si la tolérance est tout autre pour un coiffeur (inégalité du quotidien oblige) qui a le droit ou presque d’être coiffé comme un as de pique, sauf pour les jeunes générations, elle n’existe pas pour un barbier homme qui doit être apprêté. Homme-sandwich, je vous ai dit…
Quant à déceler une once de tendance au MCB, il n’en est rien, car ce n’est pas là que les looks se font et se défont, mais bien backstage des défilés, dans les labos des grandes enseignes, chez les coiffeuses et coiffeurs de renom… et sont ensuite repris dans les magazines.
Mais que ferez-vous si le court féminin est tendance et qu’il ne vous va pas ? Et si le long masculin est in et qu’il ne vous va pas non plus sans parler d’être politiquement correct au bureau ?
Pas de panique le/la professionnel(le) de la coiffure a la réponse, qui glisse comme un fer à lisser sur toutes les tendances : la coiffure qui me va est unique, n’a pas d’année ni d’effet de mode !
Aussi, je vous invite à aller chez le coiffeur pour un soin capillaire (first of all), une coupe, une coloration, un lissage… sur mesure. Autrement dit une coiffure qui vous va parce que vous êtes unique et parce que vous le valez bien !
Rendez-vous la semaine prochaine pour un nouvel édito.
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2 rue de Tiquetonne
75002 Paris
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52 rue du Faubourg Saint Honoré
75008 Paris
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