Egalité mal acquise ne profite jamais

Édito 309

Delphine HENRIET
L’inégalité naturellement
15 Mai 2018
En lisant le titre de cet édito, certaines et même certains (c’est certain) vont bondir. Qu’ils se rassurent, je n’ai pas viré réac ni oublié que j’étais une femme et encore moins la part féministe qui est en moi. Je continue de la cultiver car, comme être mère, on ne nait pas féministe (ni n’est d’ailleurs), on le devient à des degrés de profondeur et d’implication qui appartiennent à chacune (et même à chacun). A chacun sa chacune, à chacune sa chacune, et la part de féminité et de féminisme de chacune et de chacun sera bien gardée !
Mais revenons à l’égalité et à l’inégalité annoncées…
Si je soutiens celles et ceux qui dénoncent ou rapportent des disparités entre femme et homme, qu’elles soient salariales avec plafond de verre, domestiques (partage des tâches mon ami lointain), sociales, politiques… je défends surtout une certaine idée de la mixité, c’est-à-dire ce mélange des « genres » qui fait la richesse, la complémentarité et la complexité aussi d’une société.
Que les femmes et les hommes soient égaux (naissent même, pour le coup) en droits, c’est une évidence, mais qu’on tende à les faire passer dans un moule de quasi homogénéité, je suis foncièrement contre. Les différences sont sel de vie et permettent d’éviter une société « clonique ».
Après que « certains soient plus égaux que d’autres », comme disait Coluche, ça non ! Et vive les femmes au board des Conseils d’Administration !
En résumé, je ne suis pas pour que les femmes fassent « tout comme les hommes » et inversement, au nom d’une certaine idée de l’égalité, qui s’avère d’ailleurs plus avilissante qu’épanouissante, et même dangereuse pour la femme. Dans les années 70, on a parlé de la libération des femmes, par la réappropriation de leur corps, notamment. C’est indéniablement un acquis à défendre mordicus. Mais reste aussi, qu’au nom toujours de cette égalité, les femmes ont oublié leur corps moins résistant que celui des hommes, face à l’alcool (moins d’eau dans le corps), au tabac, au soleil…
Et d’ailleurs, en matière de Soins, l’heure a toujours été à la différence entre femme et homme car la peau, les cheveux, les zones du corps et les hormones qui les régissent ne sont pas du tout les mêmes. D’où des envies, des besoins, des états (grossesse) qui n’appartiennent qu’à elle, qui n’appartiennent qu’à lui, naturellement.
Avant la Fête des Mères, la Fêtes des Pères… cette piqûre de rappel valait bien Edito !
A poursuivre avec quelques thématiques et idées sur mesure…
Rendez-vous la semaine prochaine pour un nouvel édito.
Photos : Vitaman et Coiff1rst
Mais revenons à l’égalité et à l’inégalité annoncées…
Si je soutiens celles et ceux qui dénoncent ou rapportent des disparités entre femme et homme, qu’elles soient salariales avec plafond de verre, domestiques (partage des tâches mon ami lointain), sociales, politiques… je défends surtout une certaine idée de la mixité, c’est-à-dire ce mélange des « genres » qui fait la richesse, la complémentarité et la complexité aussi d’une société.
Que les femmes et les hommes soient égaux (naissent même, pour le coup) en droits, c’est une évidence, mais qu’on tende à les faire passer dans un moule de quasi homogénéité, je suis foncièrement contre. Les différences sont sel de vie et permettent d’éviter une société « clonique ».
Après que « certains soient plus égaux que d’autres », comme disait Coluche, ça non ! Et vive les femmes au board des Conseils d’Administration !
En résumé, je ne suis pas pour que les femmes fassent « tout comme les hommes » et inversement, au nom d’une certaine idée de l’égalité, qui s’avère d’ailleurs plus avilissante qu’épanouissante, et même dangereuse pour la femme. Dans les années 70, on a parlé de la libération des femmes, par la réappropriation de leur corps, notamment. C’est indéniablement un acquis à défendre mordicus. Mais reste aussi, qu’au nom toujours de cette égalité, les femmes ont oublié leur corps moins résistant que celui des hommes, face à l’alcool (moins d’eau dans le corps), au tabac, au soleil…
Et d’ailleurs, en matière de Soins, l’heure a toujours été à la différence entre femme et homme car la peau, les cheveux, les zones du corps et les hormones qui les régissent ne sont pas du tout les mêmes. D’où des envies, des besoins, des états (grossesse) qui n’appartiennent qu’à elle, qui n’appartiennent qu’à lui, naturellement.
Avant la Fête des Mères, la Fêtes des Pères… cette piqûre de rappel valait bien Edito !
A poursuivre avec quelques thématiques et idées sur mesure…
Rendez-vous la semaine prochaine pour un nouvel édito.
Photos : Vitaman et Coiff1rst
Soins
Marques
Adresses

Bonhomme Paris MontorgueilCoiffure, barbier et beauté pour homme
122 rue Saint Denis 75002 Paris
Adresse testée
par SpaEtc
La Clé du Barbier Paris 1erLa Clé du Barbier, une adresse chic qui fait mâle !
70 rue Saint Honoré 75001 Paris
Adresse testée
par SpaEtc
Nathalie TuilUne alchimie régénératrice
2 place du Général Leclerc
94160 Saint Mandé
94160 Saint Mandé
Adresse testée
par SpaEtc